Le passage de la tempête Ciáran le 2 novembre a été destructeur. Et nous a contraint à annuler notre randonnée prévue le dimanche suivant.
Les explorations les jours suivants de nos différents « terrains de jeux », sous-bois et chemins, révélaient une réalité encore plus catastrophique que ce nous imaginions, les bois dévastés, la quasi totalité des chemins environnants barrés à un moment ou un autre par des chutes d’arbres.
Bref le constat que le retour à la normale serait long, très long…Nous avons donc retroussé nos manches et, selon la météo, organisons une ou deux demi-journées de « bûcheronnage » par semaine.
Nous ciblons des chemins que nous empruntons régulièrement et qui ne sont pas actuellement la priorité des services des collectivités locales.
Nous laissons de côté les grands chemins agricoles car à priori les agriculteurs ont les moyens matériels et intérêt à les déblayer et, à ce que l’on constate, cela se fait.
Nous dégageons donc essentiellement des chemins creux qui ne sont guère fréquentés que par des marcheurs, vététistes ou cavaliers.
Même nos sorties du dimanche matin sont l’occasion de dégager des obstacles (le contenu des sacs à dos étant augmenté de petit matériel léger de découpe).
